Espacio - RAL

Assurer la fiabilité par des essais en vibration

Les chercheurs du laboratoire RAL Space avaient besoin, pour leurs travaux sur le télescope spatial James Webb, d’un nouveau système d’essais en vibration. La gamme de pots vibrants LDS a eu leur préférence.

Ral space logo

 

Les calendriers et budgets de développement des programmes spatiaux sont de plus en plus serrés et nécessitent une ingénierie fiable «du premier coup ». La qualité des essais en vibration, leurs délais de réalisation et leur rentabilité sont des axes primordiaux pour respecter les jalons de ces  programmes. Pour leurs études sur le nouveau télescope spatial James Webb, les chercheurs du Rutherford Appleton Laboratory [RAL] devaient faire l’acquisition d’un nouveau système d’essais en vibration. Ils ont opté pour notre gamme de pots vibrants LDS.

Le challenge

Le laboratoire RAL Space a développé plusieurs composants essentiels à la fabrication du télescope spatial James Webb  conçu par la NASA, devant être lancé en 2018. Lorsque que le télescope sera opérationnel dans l’espace, la maintenance ou les réparations ne seront plus possibles. Les essais de durabilité doivent donc être d’une extrême fiabilité. Pour y parvenir les équipes du RAL ont décidé de remplacer leur ancien vibrateur LDS V954 par un nouveau modèle capable de supporter des charges plus lourdes avec des marges d’erreur beaucoup plus faibles.

La solution

L’acquisition d’un système LDS plus récent a permis au laboratoire d’augmenter sa capacité d’essais, afin de répondre aux exigences des futurs programmes spatiaux. Basé sur le vibrateur électrodynamique LDS V8, le système permet deux orientations, horizontale et verticale. Une table amovible peut être ajoutée au pot vibrant pour fixer, en toute sécurité, les spécimens de grandes dimensions.

Le résultat

En choisissant de remplacer  son ancien vibrateur LDS, le RAL s’est offert la possibilité de réaliser des essais très sophistiqués afin de garantir la robustesse des composants du télescope et, ainsi, de diminuer les risques de dysfonctionnements une fois l’appareil lancé dans l’espace.